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Kapalsky
28 septembre 2010

Critique ciné: "Resident Evil: Afterlife 3D"

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Le monde est frappé par une pandémie qui transforme quiconque l'inocule en redoutable mort-vivant. Alice, seule rescapée de cet incident biologique, est à la recherche des dernières âmes humaines.. Pensant avoir détruit Umbrella, la compagnie responsable de l'épidémie; elle arrive à Los Angeles, où elle trouve une poignée de survivants...

Resident Débile. Dans la série "sagas ciné qui n'en finissent jamais", je demande "Resident Evil", une série qui tel une horde de zombie infecte nos écrans depuis déjà déjà dix ans. Paul W.S. Anderson, responsable du premier opus et du portage film de "Mortal Kombat", reprend les rennes dans cette adaptation très approximative du jeu vidéo culte Capcom. Au programme, mitraillages pétaradants, ralentis parfois ridicules, nanas au maquillage waterproof, créatures tentaculaires, conspiration machiavélique: un festival d'action over-the-top qui devient drôle à force de vouloir être sérieux. Le résultat final ressemble à une sorte de mélange à la semoule entre éléments du film de zombie moderne (l'originalité en moins) et l'association de figures ou éléments appartenant au jeu, ce qui risque fort de surprendre ou déplaire le fan de la première heure. Et en plus, ca se savoure en 3D. On n'arrête pas le progrès.

afficheResidentEvilAfterlifeEn bref: "Resident Evil: Afterlife 3D" est bien le spectacle décérébrant du moment. Hachant sans vergogne les éléments du jeu dont il s'inspire, il ne lésine pas sur les scènes de castagne overdosées en ralentis et maintient un rythme d'enfer tout en accumulant les scènes involontairement drôles. L'épisode de trop surement, mais à ce jour, le meilleur de cette série pas terrible.

Note: 13/20

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