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Kapalsky
6 septembre 2012

Culture Pub #7

Aujourd'hui, je vous propose un article « Culture Pub » un peu spécial, qui sent bon la flambe et le bling-bling, nous partons à la découverte des meilleures et des pires publicités sur l'univers des casinos.

Les salles de jeux sont des décors de rêve pour le publicitaire parce qu'elles amènent avec elles une quantité d'idées reçues sur le glamour, l'argent, la vie facile, la démesure.... Bref, tout ce qui a tendance à agacer le commun des mortels, puisque finalement hors de portée. Et même si ces images populaires sont souvent loin de la réalité (vous pouvez en savoir plus sur le vrai fonctionnement des casinos sur fr.casinotop10.net), les joueurs richissimes sont une cible de choix pour la caricature.

Et ce n'est pas nouveau ! Dans cette pub un brin vieillotte et kitschissime de 1972, l'homme en costume élégant, campé par l'innénarrable Patrick Topaloff, est déjà montré comme un véritable looser qui se fait ridiculiser par une petite mouche.

Des années plus tard, rebelote mais cette fois avec Volkswagen, et son célèbre slogan "C'est pourtant facile de ne pas se tromper", dans une parodie de films à la 007 réalisée par Claude Miller.

Mais tous les publicitaires n'ont pas le sens de l'humour. Certains choisissent de renforcer un côté bling-bling qui devient pesant et ridicule. Ce qui explique pourquoi ce spot d'Optic 2000 avec un Johnny Hallyday joueur n'est pas resté longtemps sur les écrans.

Dans la même veine, certains casinos traditionnels ne font pas dans la dentelle lorsqu'il s'agit de faire leur propre publicité. Tous les clichés y passent :  Joueurs beaux, séduisants, riches, qui gagnent forcément l'amour et l'agent....
Voici une jolie perle du genre, qui se démarque malgré tout par l'esthétique de la réalisation

Paco Rabanne est à l'unisson, dans un spot très premier degré, et terriblement machiste aussi, et dont la seconde version vient renforcer une mage encore plus négative vis-à-vis de la femme.

Et celle qui me semble être la pire de toute avec une tentative de second degré complètement ratée.

Heureusement que certains parviennent à se démarquer par une vraie créativité en cassant complètement les codes de la communication traditionnelle.  Dans ce spot, vous ne verrez ni jetons ni dés ni machines à sous.

Et pourtant, le message passe, non ? Dans la même veine satirique, les américains n'hésitent pas à mettre en avant la dimension plaisir de leurs établissements (qui font aussi hôtels), quitte à rester très premier degré. Pour le plus grand plaisir de quelques messieurs.

Et plus près de nous, nous avons notre Eric Cantona national, qui en plus d'avoir réussi sa transition du ballon rond au grand écran, se révèle etre un roi de la comédie en plus du dribble.

 

En terminant sur cette note d'humour, je vous dis à la prochaine pour un article toujours aussi spécial.

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