Critiques ciné: "Confessions d'une accro au shopping" + "Terminator Renaissance"

Bienvenue pour ce snouvelles critiques ciné! Quoi de neuf dans les salles en ce moment? "Confessions d'une accro au shopping", une comédie romantique, et "Terminator: Renaissance", le retour de la saga culte...

La jeune Rebeca Bloomwood à un grave problème qui l'handicape dans la vie de tous le sjours: elle ne passe pas une journée sans sortir sa carte de crédit. Cette droguée de l'achat compulsif, endettée jusqu'au cou, doit se trouver un nouveau travail...et elle le trouvera dans un magazine de finances...

Fashion Victim. Les addictions sont nombreuses en ce bas monde, et l'une des plus caractéristiques de notre siècle est l'addiction à la dépense. C'est le cas malheureux de lhéroine de "Confessions...", portage ciné d'un best-seller pour public féminin. Le détail de l'achat compulsif mis à part, il ne reste rien dans cette comédie romantique qui est l'équivalent d'un épisode de "Ugly Betty" et d'autres séries du genre. Sentiments mode guimauve et délires d'un personnage principal totalement cruche sont supposés etre les facteurs sympathie du film. Hélas. Dur d'avoir de l'empathie dans ce monde à part où le luxe et la mode sont les valeurs initiales. Le long-métrage est facilement dispensable: ce n'est pas que la mise en scène soit si mauvaise, meme si elle manque cruellement d'imagination, ou que les acteurs cabotinent gentiment, non, c'est que l'ensemble est nimbé d'une atmosphère si pesante, si vaine, que seul(e)s les fans du livre ou de soap-opera hardcore y trouveront leur compte. Les autres, passez votre chemin.

2018. Après le Jugement Dernier, évenement catastrophique qui à provoqué la disparition de la quasi-totalité de l'humanité disparaitre, les survivants se sont alliés et ont formé la Résistance, qui lutte contre la progression des machines, controlées par Skynet. John Connor, leader du mouvement, s'apprete à faire tomber l'invasion. Ailleurs, un homme nommé Marcus Wright, mort depuis quinze ans, se réveille dans un présent dévasté...

No Fate. Terminator redébarque sur nos écrans! Six ans après le dernier épisode, ce qui n'est pas très long par rapport à l'écart de sortie entre les précedents opus, ce nouveau film suit la bataille acharnée des humains contre les machines. Une bataille qui semble perdue d'avance, et dont la moindre erreur pourrait provoquer le fin de la race humaine. Meme si on est bien des premiers films de James Cameron, la saga s'octroie une nouvelle jeunesse et un traitement plus frappant à l'écran qu'auparavant. Les séquences d'action décoiffantes et effets spéciaux saisissants combleront le spectateur en attente d'une bonne dose d'action pure, le scénario parfois habile et les réferences en pagaille, elles, capteront l'attention des fans de la série. Si la recette est maintenant connue du public, il faut idre qu'elle est ici mijotée avec un efficacité non négligeable. Niveau casting, ca s'en tire plutot pas mal, le film voyant s'affronter deux personnages phares: John Connor, campé par Christian "Batman" Bale manquant de charisme, et le nouveau venu joué par Sam Worthington, révelation du film. Un des grands blockbusters de l'année.

En bref: Aventures d'une fille pas très futée ou apologie du consumérisme malgré la sacro-sainte morale typiquement ricaine? Peu importe au final, au vu de la vacuité et du manque d'interet de cette comédie médiocre, qui est de plus rarement drole. A éviter. 

Note: 09/20

En bref: "Terminator Renaissance" n'est certes pas un chef-d'oeuvre ni un des meilleurs épisodes de la saga, mais il est à coup sur un des plus explosifs. Un cocktail détonnant qui plaira autant aux néophytes qu'aux gros fans. De la SF bourrine, explosive, et totalement décomplexée.

Note: 16/20