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Kapalsky
7 octobre 2008

Enfer et damnation!

Bonjour chers blogueurs et blogueuses, ceci est ma 100è note sur ce blog, ainsi qu'une nouvelle critique ciné! Hier soir, nous avons assisté, en présence du metteur en scène Guillermo Del Toro, à l'avant-première du film "Hellboy II: les Légions l'Or Maudites"...

Hellboy1Hellboy2

Hellboy et ses compagnons reprennent du service. Les membres du Bureau de Recherche et de Défense Paranormal doivent stopper le plan d'un prinche déchu bien décidé à prendre le pouvoir et à reveiller une armée réputée barbare et indestructible...

Sorti en 2004, le premier film de "Hellboy" donnait vie aux personnages crées par le dessinateur Mike Mignola. Ce nouvel épisode fait bien plus fort que le premier, en étant non seulement plus drole et plus vitaminé, mais aussi en dopant sa dose de fantastique; avec sa pléthore de créatures, Del Toro compose un univers riche et parfois poétique, nimbé d'une touche macabre, qui n'a rien à envier à celui de son précédent film, "Le Labyrinthe de Pan". Meme soumis aux contraintes holywoodiennes, le cinéaste mexicain donne à son film un grain de folie et de sensibilité, qui ne manquent jamais de donner de la profondeur au récit. Avec son bestiare fabuleux et ses personnages attachants, "Hellboy II" à toutes les chances de séduire les amateurs du genre.

Hellboy3Hellboy4

afficheHellBoyIIEn bref: Plus fort, plus fou, plus fantastique. Ce nouvel épisode des aventures de Hellboy est un divertissement de haut vol ainsi qu'une réussite sur le plan artistique. Un film qui devrait réhabiliter la popularité du héros aux cornes limées.

Note: 16/20

A bientot pour de nouvelles critiques ciné... 

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Commentaires
A
Tout comme Speed Racer (enfin beaucoup moins quand meme), l'attitude totalement décomplexé de Del Toro pour son art, pour ses personnages et pour son public lui fera défaut vis à vis de l'institution critique (a quelques exceptions près).<br /> Car même si Hellboy 2 souffre d'un déséquilibre scénaristique, il s'agit de l'apogée de l'esthétique Del Toriene, un festival de raffinement esthétique, dans les costumes, les décors, les accessoires, flattant aussi bien notre œil que notre intellect (les renvois permanent aux thématiques sous-jacentes passent par tout cela). Enfin Del Toro prolonge tout ce qu'il avait élaboré dans l'opus précédant et dans sa carrière, nous rapproche comme rarement des freaks, offre un film d'action brillant, puissamment mis en scène (l'apogée du travail en mouvement élaboré avec Guillermo Navarro) brassant un nombre impressionnant de références diverses. Elfman a la musique (même si la composition n'est pas aussi géniale que l'on aurait pus l'espérer)et un casting au sommet. <br /> <br /> "Industrible my ass !"
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F
ce héro ne m,a jamais vraiment attiré mais pourtant... j'ai bien été surpris par le film et son visuel trés riche !
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